Depuis quinze ans, le ministère des Armées repose largement sur les solutions Microsoft, avec un contrat « open bar » de 120 millions d’euros, renouvelé en 2013 et 2017 sans appel d’offres. Un récent rapport parlementaire met en lumière cette dépendance, soulignant les risques potentiels pour la souveraineté numérique française, notamment avec la possible évolution vers des logiciels en tant que service (SaaS) de Microsoft, compromettant la sécurité des données stockées à l’étranger. Malgré ces préoccupations, le rapport recommande l’exploration d’alternatives basées sur des logiciels libres tels que Linux, tout en reconnaissant les défis opérationnels et budgétaires, et soulignant le handicap potentiel en termes d’interopérabilité avec les alliés en cas d’abandon des solutions Microsoft.
Article complet ICI
Crédit photo : wallpapercave.com