Les États-Unis dévoilent leur plan de lutte contre les cyberattaques

Les objets connectés, comme les ampoules, les prises, les réfrigérateurs, les climatiseurs intelligents, les robots aspirateurs, les montres, les bracelets ou les téléviseurs, représentent un risque pour la sécurité informatique. Pour empêcher les hackers de prendre le contrôle d’un appareil intelligent pour mener des cyberattaques, Washington vient d’inaugurer un programme intitulé « U.S. Cyber Trust Mark ».

Il s’accompagnera de la création d’un label qui garantira aux consommateurs que les appareils intelligents répondent à certains critères en matière de cybersécurité. Parmi ces exigences, on trouvera notamment l’implémentation de « mots de passe par défaut uniques et forts », les mises à jour régulières, les mesures pour protéger les données personnelles et la mis en place de systèmes de détection en cas d’intrusion.

De son côté, l’Europe est bien consciente des dangers que représentent les objets connectés. L’an dernier, l’Union européenne a d’ailleurs annoncé la création d’une norme stricte pour tous les produits IoT. Tous les objets contenant un microprocesseur sont concernés. Jusqu’à 15 milliards d’euros d’amendes pourront être infligés aux entreprises ne respectant pas les règles.

Pour rappel dès 2019, la société française Digital Security avait créé un label « IoT Qualified as Secured ». A ce jour, il semble que les industriels n’aient pas massivement souscrit à la démarche.

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La traduction automatique fait un bon en avant

Pour permettre aux scientifiques s’exprimant en différentes langues de communiquer ensemble, le système de traduction automatique Bloom a été imaginé par une entreprise américaine fondée par deux français. Bloom permet de travailler sur 46 langues en même temps. Le logiciel est conçu pour tenter de deviner le mot suivant grâce à un arbre prédictif basé sur 176 milliards de possibilités. Le super calculateur français Jean Zay a été mis à contribution pour réaliser cette prouesse.

Article intégral à retrouver sur presse-citron.net

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Pourquoi s’opposer à la création de Mon Espace Santé ?

Depuis février 2022, le service Mon Espace Santé a été généralisé à l’ensemble de la population.

Le principe est simple. Lorsque vous recevez le SMS ou le Mail contenant votre code provisoire, si vous ne vous opposez pas à sa création dans les six semaines, votre espace santé est automatiquement créé.

Cet espace est destiné à recevoir vos informations médicales : ce que vous y déposerez vous-même, mais aussi ce que les professionnels de santé y déposeront sans que vous ne puissiez vous y opposer. D’autres fonctionnalités en lien avec la santé seront également implémentées.

Sans préjuger de la sécurité de l’application, ni d’un lieu de stockage souverain de vos données personnelles, on peut légitimement s’interroger sur la manière utilisée pour déployer le dispositif.

Les données de santé sont considérées au niveau européen comme des données personnelles sensibles. Le RGPD définitif avec précision les règles qui s’appliquent à leur traitement. Sans aller très loin, on constate que la notion de « consentement éclairé » est plus que douteux, puisque l’activation de Mon Espace Santé se fait par défaut et qu’une partie non négligeable de la population n’y comprend rien.

Faute de garanties suffisantes, l’association RsynC met en garde sur ce qui pourrait être une boîte de pandore et invite la population à s’opposer sans délai à la création de leurs espace « Mon Espace Santé ». Les indications se trouvent en bas de page, sur le site « https://www.monespacesante.fr/« 

Pour en savoir plus : laquadrature.net

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Le cloud souverain n’est-il qu’un fantasme ?

Les annonces autour de la souveraineté des données se multiplient depuis quelques mois. Mais la francisation des technologies américaines suffit-elle ? Plusieurs entreprises françaises affirment pouvoir proposer « une alternative crédible » à Microsoft 365, la suite bureautique hébergée dans le cloud de Microsoft (anciennement Office 365).

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